Aeki - Mais c'est quoi encore ça?

Oui, AEKI, ça ressemble à IKEA… mais non, on n’a pas de boulettes à la cafétéria.
Chez nous, c’est plutôt espresso italien, bois massif et coussins en cuir.

AEKI, c’est l’anti-IKEA (mais on leur dit ça gentiment, hein).
Pas d’allées sans fin, pas de meubles à monter en jurant, et surtout : pas de compromis sur la qualité.

Mais c’est qui encore celui-là?

Un passionné un peu à contre-courant.

Un mec qui aime les belles choses, les matières nobles, et qui pense qu’un canapé peut changer une vie (ou au moins une soirée).
Il chine (mais jamais en Chine), il négocie, il ramène des pièces incroyables de grandes marques européennes — parfois introuvables, parfois oubliées, mais toujours sublimes.

Et il fait tout ça pour vous les proposer à prix doux, sans jamais rogner sur l’élégance.
C’est ça, l’esprit AEKI : du haut de gamme, mais humain. Design, mais vivant. Beau, mais accessible.

Qu’est-ce qu’il vend encore celui-là?

Des meubles européens qui sentent bon la dolce vita, le cuir pleine fleur et les siestes au soleil.

Des tables qui font de la place pour les copains. Des lampes qui tamisent les journées longues. Des fauteuils qui prennent soin du corps ET du style.

Bref, AEKI, c’est un peu le cousin rebelle du design. Celui qui fait les choses à l’envers, mais qui a du goût.

Et qu’est-ce qu’un chien fout là?

Nala a un flair infaillible (surtout pour repérer les coins cosy),

Elle accueille nos clients avec la patte sur le cœur.
Elle teste les canapés, approuve les plaids, et distribue des câlins en libre-service.
Si elle s’endort dessus, c’est validé.

🐾 Chez AEKI, le confort est certifié Nala.

Le CV (presque) officiel du fondateur d’AEKI

🍷 Compétences : flair pour les canapés confortables, obsession pour les belles matières, capacité à repérer une table bancale à 10 mètres

🎓 Formation : l’école de la vraie vie + 20 ans à traîner ses baskets dans les showrooms et les expos internationales de prestige (Paris, New York, Manhattan, Tokyo, Cologne, Godarville, Saint-Vaast, etc.)

📍 Expérience professionnelle :

Vendeur de meubles (pas toujours très beaux)
Plusieurs grandes enseignes – pendant bien trop longtemps

« J’ai vendu des meubles que je n’aurais jamais mis chez moi. Et un jour, j’en ai eu marre. »

Responsable de magasin (où les clients n’avaient pas le droit de s’asseoir trop longtemps)

« On m’a dit : ‘Un canapé, c’est une marge.’
Moi je pensais : ‘C’est un endroit où ton chien, ton enfant et ta fatigue peuvent s’allonger ensemble. »

🎯 Fondateur d’AEKI – fait les choses à l’endroit en les pensant à l’envers

« Le marketing m’a appris à enjoliver.
Le terrain m’a appris à douter.
L’honnêteté m’a poussé à tout recommencer. »

💡 Compétences non techniques :

  • Repère un vrai cuir les yeux fermés

  • Peut monter un lit à l’italienne sans notice

  • Sait dire non aux tendances moches

  • Écoute toujours le client avant de parler stock

🐾 Autres informations utiles :

    • Travaille souvent avec un chien dans les jambes (cf. Nala)

    • Peut vous raconter l’histoire d’une table comme d’un grand vin

    • Pense qu’un bon fauteuil vaut mieux qu’une séance de psy (mais fait les deux)

    • A souvent dit non à un meuble pourtant très rentable, juste parce qu’il le trouvait moche

    • Préfère rater une vente que vendre quelque chose qu’il n’achèterait pas lui-même

    • Peut vous dire si un tissu va mal vieillir juste en le touchant 3 secondes

🗣️ Pourquoi AEKI ?

“Parce qu’on mérite tous du beau chez soi. Et que le design ne devrait jamais être froid, distant ou hors de prix.”

Des débuts difficiles

📸 Des débuts difficiles – épisode 1 : les premiers ambassadeurs

Voici nos deux premiers « collaborateurs ».
À l’époque, pas de showroom chauffé, pas de site web, pas de budget pub.
Juste un canapé, une idée… et eux.

L’un testait le confort (en dormant 18h par jour).
L’autre vérifiait la solidité des pieds de table (avec ses dents).

 

On les a payés en caresses, en croquettes, et en restes de mortadelle.
Pas très scalable comme modèle… mais terriblement efficace pour garder l’ambiance chaleureuse.

🚚 Des débuts difficiles – épisode 2 : la première camionnette

Elle faisait un bruit de tondeuse en montée, sentait un peu l’huile chaude, et attirait plus les regards inquiets que les compliments.

Mais elle allait jusqu’en Italie et en revenait.

0 suspension, 4 pneus fatigués, 200 % de motivation.
C’est avec ce bolide bordeaux, entre deux aires d’autoroute et trois cappuccinos tièdes, qu’AEKI a commencé à ramener des merveilles.

 

Pas encore de showroom. Pas encore de logo.
Juste l’envie de faire entrer du beau dans le coffre. Puis chez vous.

🚛 Des débuts difficiles – épisode 3 : la montée en gamme (presque)

On a troqué le bolide bordeaux contre un utilitaire blanc.
Moins de charme, mais plus de place.
Enfin… presque.

Chaque centimètre a été optimisé avec amour, huile de coude, et une vision 3D dans la tête (parce que sur papier, ça ne rentrait pas).

Matelas, fauteuils, caisses en bois, armoires à moitié montées : tout est rentré (on ne sait toujours pas comment).

Poids total estimé : “beaucoup trop”.
Fermeture de porte : à la limite du miracle.

C’était pas encore le luxe, mais c’était efficace, plein, et 100 % AEKI.
Et spoiler : tout est arrivé entier. 

🏠 Des débuts difficiles – épisode 4 : le premier “showroom”

Une vitrine où il fallait coller le nez pour deviner qu’on vendait autre chose que des rideaux.

Et pourtant…

C’était notre premier showroom.
On avait trois meubles, deux lampes, un tapis… et beaucoup d’amour-propre.

Sur rendez-vous uniquement (surtout parce qu’on n’avait pas encore de sonnette).
Chaque visite était un événement. Chaque client, un miracle.

Mais le style était là.
Et Nala tenait la boutique comme une chef 🐾

On vous écrit la suite bientôt 😉